Classe: |
Actinopterygii |
Sous
classe: |
Neopterygii |
Ordre: |
Perciformes |
Genre: |
Elacatinus Jordan, 1904 |
Espèce: |
evelynae (Böhlke and Robins, 1968) |
1ère
Description: |
Böhlke
and Robins, 1968 |
Synonymes: |
Gobiosoma
evelynae Böhlke and Robins, 1968 |
Distribution: |
Principalement
sur la côte Ouest atlantique - des Bahamas aux Petites Antilles
; iles au large du Vénézula ; Ouest de la Caraibe et Cuba . |
Description: |
L'ensemble
du corps est noir avec des bandes latérales jaunes vif de la tête
à l'extrémité de la queue. Un des plus petit poisson en récifal. Gobiosoma evelynae présente des bandes jaunes en forme de
V sur le museau alors que d'autres ont des taches plus ou moins
grandes . Le jaune ne doit pas déborder sur le museau, dans le cas
contraire il s'agit de G. Randalli. |
Caractéristiques: |
Espèce
associée au récif entre 5 et 20 mètres de profondeur. Se rencontre
dans les zones sablonneuses des lagons récifaux. |
Maintenance: |
Espèce
trés facile à maintenir et trés utile car c'est un déparasiteur
trés actif , sans présenter les inconvénients des Labroides dimidiatus qui ont tendance à "harceler" les poissons". Une fois sa "station
de nettoyage" établie, le gobiosoma en bouge peu et attend que les
poissons se présentent pour les nettoyer. Régime très varié : Mysis,
Krill, Artémias et flocons . Se nourrit trés facilement de nourriture
sèche. |
Multiplication |
Enfin,
son élevage en captivité a été réussi et semble t'il fait l'objet
d'une exploitation à l'echelle commerciale. L'élevage peut être
tenté, mais le dimorphisme sexuel étant peu apparent, il est préférable
d'acheter un couple déja constitué. Toutefois, un bac de 400 L permet
d'héberger au moins 2 individus mâles. Les larves sont élevées aux
rotifères puis aux nauplies d'artémia. |
Remarques
: |
Laetitia
Colon : "Les oceanops et randalli sont 2 autres espèces
du même genre. Il semblerait d'ailleurs que le randalli soit plus
facile à maintenir que les 2 autres. Ils ont tous un comportement
déparasiteur, mais E. randalli semble avoir un régime alimentaire
plus diversifié et moins dépendant du déparasitage, ce qui expliquerait
sa facilité d'adaptation aux diverses nourritures aquariophiles.
La disponibilité des individus issus d'élevage reste encore anecdotique
en France" |